En avril 2019, l'Agence française du médicament (ANSM) a retiré du marché français certains implants mammaires macrotexturés ou dont la surface est recouverte de polyuréthane, utilisés à visée esthétique ou réparatrice. Cette mesure est motivée par la mise en évidence d'un risque de lymphome chez les femmes porteuses d'un implant mammaire. Selon l'ANSM, début avril 2019, 59 lymphomes anaplasiques à grandes cellules ont été associés au port d'implant mammaire. En France, environ 400 000 femmes sont porteuses d'implants mammaires
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