Début 2025, chez les patients atteints d'un myélome multiple qui s'aggrave après au moins 3 lignes de traitement, il n'y a pas de traitement de référence (1,2). Parmi les médicaments autorisés dans cette situation clinique, le téclistamab (Tecvayli°) et l'elranatamab (Elrexfio°), deux anticorps monoclonaux dirigés à la fois contre les récepteurs CD3 des lymphocytes T et l'antigène BCMA présent à la surface des cellules cancéreuses, n'ont pas apporté de progrès (1,2). S'y ajoute le talquétamab (Talvey°, de la firme Janssen Cilag), un anticorps monoclonal dirigé à la fois contre les récepteurs CD3 et contre la protéine GPRC5D, exprimée à la surface de cellules cancéreuses (3)
Accéder au sommaire du numéro :