Chez les patients atteints d'un carcinome à cellules rénales (alias adénocarcinome rénal) à un stade avancé, le sunitinib (un inhibiteur de tyrosine kinases dont celles liées au VEGF) est une option. Certaines associations d'antitumoraux (anticorps immunostimulants, inhibiteurs de tyrosine kinases), évaluées chacune dans un seul essai comparatif chez des patients atteints d'un cancer de pronostic intermédiaire ou défavorable, apportent un bénéfice clinique par rapport au sunitinib : allongement de la durée médiane de survie d'une vingtaine de mois ou diminution d'environ 12 % en valeur absolue de la mortalité à 2 ans, selon les associations. Mais elles exposent à un surcroît d'effets indésirables graves (1)
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