Chez des patients atteints d'un cancer de la prostate métastasé qui s'aggrave malgré une dépression androgénique (par ablation des testicules ou par un médicament agoniste ou antagoniste de la gonadoréline) associée avec un antiandrogène (abiratérone ou enzalutamide), plusieurs options sont possibles. Elles consistent à poursuivre la dépression androgénique en remplaçant l'abiratérone par l'enzalutamide ou inversement, ou à proposer une chimiothérapie avec un taxane. Le choix dépend notamment des traitements déjà reçus, de la réponse des patients à ces traitements et de leur état général (1à5)
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