Ulipristal et contraception post-coïtale : préférer le lévonorgestrel L'ulipristal est un agoniste-antagoniste des récepteurs de la progestérone. Dans l'Union européenne, il est autorisé en comprimés dosés à 30 mg pour la contraception postcoïtale (dite d'urgence), en prise unique, dans les 5 jours qui suivent un rapport sexuel sans contraception. En France, des copies, dont les noms commerciaux comportent la dénomination commune internationale (DCI), sont disponibles avec la même indication que le princeps Ellaone°. Les contraceptifs postcoïtaux sont disponibles sans prescription médicale ; ils peuvent faire l'objet d'une dispensation anonyme et gratuite aux mineures, notamment en officine (1à3).La suite est réservée à nos abonnés. Déjà abonné ? Se connecterFaites le choix de l'indépendanceet accédez à tous nos contenusà partir de 16€ par mois Abonnez-vous