Chez les patients atteints d'un carcinome hépatocellulaire avancé ou inopérable, quand un antitumoral est envisagé, le sorafénib (un inhibiteur de tyrosine kinases, avec un effet anti-VEGF) est le médicament de premier choix quand la fonction hépatique est préservée (1). Après échec du sorafénib, le régorafénib (un dérivé du sorafénib) est une option : il a allongé la durée médiane de survie d'environ 3 mois dans un essai versus placebo. Mais il expose à de nombreux effets indésirables, parfois graves voire mortels. Proposer des soins symptomatiques sans antitumoral est aussi une option raisonnable dans cette situation (2)
Accéder au sommaire du numéro :