Prastérone alias DHEA (INTRAROSA°) et atrophie vulvovaginale

Chez les femmes ménopausées, la réduction de la production d'estrogènes liée à la ménopause provoque un amincissement de l'épithélium de la muqueuse vaginale et de l'appareil urinaire inférieur et, à long terme, une atrophie vulvaire et vaginale. Cette atrophie se manifeste notamment par une diminution de la lubrification vulvovaginale lors de l'excitation sexuelle. Les symptômes sont variables et s'aggravent parfois avec le temps. Ils surviennent surtout lors d'actes sexuels avec pénétration, altérant la qualité de vie sexuelle : sensations de brûlure et d'irritation, douleurs (alias dyspareunies), saignements vaginaux. D'autres symptômes surviennent parfois, notamment une sensation de sécheresse vaginale gênante, voire douloureuse, ressentie même en dehors des actes sexuels, une pollakiurie (fréquence excessive des mictions), une dysurie (difficulté à uriner), des hématuries (1).

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