Chez les rares patients atteints d'un cancer bronchique non à petites cellules avancé ou métastasé dont la tumeur porte une mutation du gène ALK, il n'est pas démontré, mi-2018, que le crizotinib ou l'alectinib (des inhibiteurs de multiples tyrosine kinases, dont la kinase ALK) allongent la durée de vie en traitement de première ligne par rapport à une chimiothérapie à base d'un sel de platine (1)
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