Chez les patients atteints d'une maladie de Hodgkin en rechute ou réfractaire après une autogreffe de cellules souches hématopoïétiques, aucun médicament n'a d'efficacité prouvée pour allonger la durée de vie, y compris la brentuximab védotine. Après échec d'une autogreffe et de la brentuximab védotine, la balance bénéfices-risques du nivolumab, un immunostimulant anti-PCD-1, est défavorable début 2018 du fait d'une quasi-absence d'évaluation sur des critères cliniques et d'un profil d'effets indésirables chargé (1)
Accéder au sommaire du numéro :