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À la Une
Accompagner une personne en fin de vie

Répondre à des besoins qui vont au-delà du soulagement des symptômes physiquesAccompagner un patient en fin de vie et son entourage est une épreuve pour de nombreux soignants (1à3). Dans cette situation, les soignants se sentent parfois démunis face à des besoins qui ne se limitent pas au soulagement des symptômes physiques, mais qui sont aussi des besoins d'information, des besoins d'ordre psychologique, émotionnel, relationnel, spirituel, ou socio-économique (a)(4,5)

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Vie intime, affective et sexuelle : aussi en établissements sociaux et médicosociaux

La vie intime, affective et sexuelle est une liberté fondamentale et une dimension essentielle du bien-être humain. Son respect se heurte à des difficultés, notamment en établissements sociaux et médicosociaux, pour les personnes âgées, en situation de handicap ou les mineurs en foyer (1). Diverses associations se sont engagées pour faire reconnaître cette liberté en sensibilisant, par exemple, aux questions d'orientation sexuelle, d'identité de genre, de séropositivité au VIH ou pour la légalisation du recours aux assistants sexuels (2à4). En 2025, la Haute autorité de santé (HAS) française a publié des recommandations de pratiques professionnelles pour l'accompagnement de la vie intime, affective et sexuelle de ces personnes (1)

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Prix Prescrire 2025 : visionner l’événement

Sur le thème : Soignants, patients, aidants : des interactions au cœur du soin. À propos de démarches novatrices pour aider les personnes souffrant de troubles psychiques, pour accompagner les patients en fin de vie, pour réduire les risques chez certains usagers de drogues, ou pour former les soignants.

Risques liés aux soins
Lamotrigine in utero : des conséquences mieux cernées

Depuis plusieurs années, nous actualisons régulièrement les données disponibles sur les risques de malformations et sur les effets à long terme liés à l'exposition in utero à tel ou tel antiépileptique, notamment l'acide valproïque, la prégabaline, la gabapentine, la carbamazépine, le topiramate, le lévétiracétam, la lamotrigine (1à4). En 2019, la lamotrigine, pour laquelle les données étaient les plus nombreuses, semblait être l'antiépileptique le moins tératogène. À une dose inférieure à 300 mg par jour, la fréquence des malformations congénitales majeures semblait proche de celle observée chez les enfants nés de femmes non épileptiques. Par rapport à l'acide valproïque à la dose de 1 500 mg par jour, le risque tératogène avait été estimé environ 3 fois moindre (1). À long terme, l'exposition in utero à la lamotrigine semblait augmenter les troubles du développement neuropsychique : environ 1,6 fois plus de troubles précoces du développement et 9 fois plus d'autismes et de dyspraxies avec la lamotrigine que chez les enfants non exposés. Ces effets semblaient cependant moins fréquents qu'avec les autres antiépileptiques (1)

Méthémoglobinémies médicamenteuses

On nomme méthémoglobinémie un excès dans le sang de méthémoglobine, une forme oxydée de l'hémoglobine où le fer, passé à l'état ferrique, a perdu son pouvoir de fixer l'oxygène. La méthémoglobine représente généralement moins de 1 % de la concentration totale de l'hémoglobine dans le sang. On parle de méthémoglobinémie quand cette proportion est supérieure à 5 %

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