 | ||
 | | |
| | ||
| | |
| Contraception post-coïtale : aspects médicaux | ||
| ||
| mis à jour le 1er mars 2006 | ||
| ||
| Quelles sont les moyens disponibles et leur évaluation clinique ? Y a-t-il des choix à préférer ? Quels sont les circonstances et les délais d'utilisation ? Comment contrôler l'efficacité ? | ||
| ||
| ||
| ||
| Contraception postcoïtale sans prescription : pas de dérapage | ||
| Selon une enquête britannique, la vente en pharmacie sans ordonnance de la contraception postcoïtale ne semble pas augmenter notablement les comportements sexuels à risque ni modifier l'utilisation des préservatifs ou d'une contraception régulière | ||
| Revue Prescrire n°270, mars 2006 : 208 | ||
| ||
| ||
| ||
| Contraception post-coïtale : 1500 microgrammes de lévonorgestrel | ||
| En pratique, 1500 microgrammes de lévonorgestrel dans les heures suivant un rapport non protégé est la contraception post-coïtale de choix | ||
| Revue Prescrire n°260, avril 2005 : 299 | ||
| ||
| ||
| ||
| Lévonorgestrel en une prise : Norlevo° commercialisé en comprimé à 1,5 mg | ||
| En cas de vomissement dans les 3 heures qui suivent la prise du comprimé, un autre comprimé doit être pris immédiatement | ||
| Revue Prescrire n°254, octobre 2004 : 665 | ||
| ||
| ||
| ||
| Contraception post-coïtale : lévonorgestrel en une prise | ||
| Une prise de 2 comprimés de 750 µg de lévonorgestrel est plus simple et fait aussi bien que 2 prises de 750 µg à 12 heures d'intervalle | ||
| Revue Prescrire n°239, mai 2003 : 378-379 | ||
| ||
| ||
| ||
| Contraception d'urgence Vikela° : non à la pseudo-information industrielle au prix fort ! | ||
| L'information sérieuse des patients, quel soit le sujet, doit être prise en charge par des canaux non industriels et indépendants. L'information fournie par les firmes doit se limiter au conditionnement, notice comprise | ||
| Revue Prescrire n°234, décembre 2002 : 822 | ||
| ||
| ||
| ||
| Délai de contraception d'urgence | ||
| Selon l'essai rapporté, l'utilisation de l'association éthinylestradiol + lévonorgestrel mérite d'être tentée jusqu'à 4 ou 5 jours après un rapport | ||
| Revue Prescrire n°221, octobre 2001 : 696 | ||
| ||
| ||
| ||
| Quand recommander une contraception postcoïtale en cas d'oubli de "pilule" ? | ||
| Les différentes circonstances d'oubli de "pilule" où une contraception d'urgence doit être conseillée | ||
| Revue Prescrire n°217, mai 2001 : 394-395 | ||
| ||
| ||
| ||
| lévonorgestrel (Norlevo°) pour la contraception d'urgence | ||
| Un essai montre un rapport bénéfice/risques plus favorable que celui de l'association éthinylestradiol + lévonorgestrel. Le conseil pharmaceutique en contraception d'urgence | ||
| Revue Prescrire n°199, octobre 1999 : 643-646 | ||
| ||
| ||
| ||
| éthinylestradiol + lévonorgestrel (Tétragynon°) pour la contraception d'urgence | ||
| Le premier médicament en France à obtenir une AMM pour la contraception d'urgence | ||
| Revue Prescrire n°194, avril 1999 : 253-255 | ||
| ||
| ||
| ||
| Contraception post-coïtale | ||
| Un article qui pose les bonnes questions. Depuis sa parution en 1995, des médicaments ont obtenu une AMM dans cette indication, et de nouvelles possibilités sont apparues | ||
| Revue Prescrire n°148, février 1995 : 126-127 | ||
| ||
| ||
| ||
| voir aussi Contraception post-coïtale : aspects réglementaires |  | |
| | |
